Ta formation désormais achevé depuis quelques mois maintenant et, tu es désormais employé dans la pension de la vieille femme, Anya. Depuis ta rencontre avec elle, tu as l'impression de pouvoir enfin vivre ta propre vie, d'être enfin quelqu'un dans ce monde. Et comme chaque jours depuis, que tu es en formation et employé ici, tu t'occupes des Pokemon présents, ainsi que des tiens. Vivant tranquillement en extérieur, dans les immenses enclos présent, tes Pokemon jouissent d'une liberté constante.

Certains jours, lorsque Anya n'a pas besoin de toi, tu te rends à Domuraille afin d'aller voir les prêtes de la Secte. Passant du temps avec tes amis, tu finis par rendre visite à ton meilleur ami, depuis le temps que vous ne vous êtes pas vu … Vous êtes resté là, ensemble, à parler de tout et de rien, de tout ce que vous avez manqué. Tu t'es excusé, il a compris. Tu souris, tu es heureuse … Ta vie prend enfin un sens, un autre sens. Tu n'es plus que Kitai la prêtresse de la Secte Distorsion, non, tu es également Nozomi, éleveuse de Pokemon …

Toutefois, si tout semblait aller pour le mieux pour toi, quelque chose te dérange … Où est Ézéchiel ? Qu'en est-il de ton avenir avec Kenshîro ? Comment gérer tes deux vies pourtant si opposé l'une de l'autre ? Beaucoup de questions s'imposent à ton esprit et, tu peines à avoir les réponses mais, peut-être ne devrais-tu pas t'en faire autant ? Chassant sans cesse toutes pensées négatives qui pourraient te faire dériver, tu te concentres sur ton nouveau travail mais, également, te rend de plus en plus souvent au sein de la Secte pour te rapprocher de ton Dieu que tu as un peu délaissé ces derniers mois.

Sur l'ordinateur de la pension, tu gères le site et commande, répondant aux e-mails et profitant de n'avoir rien à faire aujourd'hui pour en envoyer certains. Tu repenses à Ézéchiel, tu ne peux t'empêcher de t'inquiéter pour ton frère mais, il finira bien pas réapparaître, c'est ce que tu dois te dire … Cessant de penser à cela, tu te concentres sur ce que tu as à faire, Tomo veillant sur toi de loin et, Harau, toujours fidèle à son poste, allongé à tes pieds ...