u bâillas longuement, frottant tes yeux où perlaient quelques larmes de fatigues avant de les rouvrir face au guichet d’accueil du centre pokémon. Tu attendais calmement que je me fasse soigner ; même si ce n’était que quelques égratignures, tu voulais pas prendre le risque que ça empire et m’avoir sur le dos. C’est sûr que ça court les rues des fantômes malades… mais s’il n'y a que ça pour te faire plaisir. Quoique non, tu t’en fous, en fait tu es tellement fatigué que tu n’as pas trop réfléchi. Faut dire qu’on revient d’une longue nuit blanche. Les banshitrouye que nous avons combattues étaient vraiment nombreuses et ça nous a pris toute la nuit pour régler le problème. Tu méritais bien une nuit de sommeil, même s’il était huit heures du matin.
Au bout d’un moment l’infirmière t’interpella, me tenant à bout de bras vers toi pour me rendre. Tu souris en voyant ma tête blasée et je te mordis le doigt. Non mais je ne suis pas un jouet ! Tu juras tandis que je m’éclipsai dans ton ombre avant de remercier quand même l’infirmière qui fit un sourire gêné.
Une fois dehors, tu étais bien décidé à rejoindre l’hotel de la dernière fois pour t’écrouler sur un lit. Mais à peine quelques pas effectué que ton holokit sonna dans ton sac. Jurant et en espérant que ce n’était pas ta chieuse de supérieure, tu décrochas.


Tu parus un peu étonné puis un sourire s’esquissa sur tes lèvres. Ils étaient rares mais souvent présents quand Oswald, ton ami d’enfance, t’appelait.


Ton sourire s’effaça, un peu embêté.



Tu te mordis la lèvre, tu sentais que tu n’allais pas tenir si tu dormais pas et il fallait quand même une petite heure pour y aller et Oswald allait forcément t’accaparer jusqu’à tard dans la nuit. En plus c’était sûr qu’il racontait des bobards.



Tu soupires, résigné. De toute façon avec lui, tu n’avais pas le choix. Si tu ne venais pas, il viendra te tirer pas la peau du cul.


Oswald rigola et raccrocha. Tu grognas et rangeas ton holokit dans ton sac, te dirigeant vers le centre pokémon pour empreinte leurs toilettes faire ce que t’avait conseillé ton pote pour tenir. Evitons que tu t’endormes sur ta moto en marche. Et puis avec toi, ce n’est pas une trace qui va te faire sauter comme une pile et te faire faire n’importe quoi. Tu ressortis encore de la structure pour aller prendre ton véhicule, le mettant en marche. Tu bâillas longuement pendant que Majora grimpait sur tes épaules puis tu démarras. Cette fois, pas trop de folie sur la route…



Moderation's time !

→ Déplacement en moto jusqu'au plaine de Wëo

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