Enfance :
Alphonse a été élevé dans une famille sans histoire, des parents ordinaires, voir très médiocres. Ils étaient aimant avec lui, mais ne lui ont pas fourni l'éducation suffisante. Alphonse s'est cultivé lui même et s'est beaucoup intéressé aux pokémons au dépend de ses amis humains. Il a beaucoup lu et s'est forgé lui même. Il quitta sa famille seul, sans argent et sans pokémon à l'âge de 17 ans.
De 17 à 29 ans :
Alphonse a vécu ses années de ses petits boulots. Du nettoyage des rues, à la garde nocturne des centres pokémon. Il réussit plus tard à trouver un emploi à un laboratoire pokémon où son intelligence lui servi beaucoup. Il n'eut aucune reconnaissance de part son statut d'assistant. Son responsable en tira tout le mérite et il démissionna.
De 30 à 35 ans :
Peu après sa démission, il fut contacté par un vieux couple de riches d'une autre région : Alcea. Ils avaient fait des dons au laboratoire de recherche et il les avait séduit par son langage, son élégance et son intelligence. Suite au décès de leur ancien majordome, ils lui proposèrent de travailler à leur service. Il accepta et servit la riche famille Zephyru pendant 5 ans.
A partir de la 36eme année :
Au court de son service chez les Zephyru, Alphonse avait pu capturé divers pokémon, ses pièges vicieux et son gros salaires chez les Zephyru lui avait permis de mettre au point les pièges les plus retords. Et il consacra son temps libre à jouer à des jeux cruels avec ces pauvres pokémons. Il veilla à ce que personne ne soit au courant de ses loisirs tout en continuant son travail de majordome avec une dévotion et des qualités remarquables. Il utilisait le sous-sol du manoir pour "s'occuper" de ses pokémons, il avait discrètement installé un revêtement antibruit sur les murs de la cave (il avait profité d'un week-end à Hopa du vieux couple Zephyru). A partir de ce jour, les véritables jeux commencèrent, il n'était plus contraint de torturer, tuer et enterrer le pokémon pendant les courtes absences de ses patrons, mais il pouvait le conserver piégé dans la cave et revenir le torturer à un autre moment de disponibilité. Le sous-sol ne contenant que la chaudière et des vieux vins ; Hans et Carla Zéphyru ne s'y rendaient jamais préférant missionner Alphonse. Mais Alphonse savait très bien ce qui se passerait si un jour les vieux Zéphyru entrant dans la cave et découvrait ses "aménagements". Cette peur empêchait Alphonse de faire ses expérimentations ultimes et c'est sans doute à cause d'elle qu'il sauta le pas de mettre un terme à sa vie de majordome.
Les ambitions d'Alphonse ne furent jamais satisfaites, et la vie chez le couple Zephyru devenait ennuyeuse au possible. Il ne voyait personne, ne sortait plus.
"Personne ne remarquera leur disparition, leur argent servira plus entre mes mains"
C'est ainsi qu'une nuit d'été, il mit feu au manoir, en ayant au préalable volé l'argent du vieux couple. L'opération était risqué, il a du enfermé le couple et veiller à ce que personne ne survive, la semaine passé il avait veillé à enlever tout ses aménagements du sous-sol, et enterrer les pokémons qu'il avait torturé plus loin dans la forêt Lumna alors qu'il prétextait faire des courses (c'était le moyen qu'il utilisait toujours pour sortir se débarrasser des pokémons). Il a encore une brûlure sur le visage à cause du grand incendie. Après des années de service, le vulgaire coffre derrière la tableau ne les protégerait plus la forturne du vieux couple. Et les vieux arcanins de la famille ne veillait plus sur grand chose.
Lorsque la police et les pompiers arrivèrent sur place, ils ne trouvèrent que des cadavres en piteux états et ont considéré qu'il s'agissait d'un accident. Et si l'incendie était criminel, il n'avait aucune piste. Il était impossible d'identifier les corps. Alphonse laissa passer 4 mois avant de revenir au manoir, enfin aux restes du manoir. Il s'y installa, le grand brasier avait détruit le toit et le premier étage n'était qu'un tas de cendre, le sous-sol avait été épargné et le premier étage avait conservé une partie de ses murs. Personne ne le dérangerait, et il allait pouvoir s'amuser. Les restes de son travail de chercheur aillait servir pour couvrir ses activités. Il était véritablement chercheur, il en était persuadé.