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 Walther Baikal - Le voleur herboriste

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Akito Aojima
Akito Aojima
Sam 9 Aoû - 12:11
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Informations du dresseur


► Nom_ Baikal
► Prénom_ Walther
► Sexe_ Masculin
► Date de naissance_ 13 Novembre 1990
(30 ans)

► Lieu de naissance_ Pyrite (Rhode)
► Lieu de résidence_ Loima (Alcea)
► Orientation sexuelle_ Bisexuel
► Métier_ Voleur
Description du dresseur
    Caractère :
Pourquoi ne pas se fier aux apparences pour une fois ? Walther ne serait-il pas précisément ce personnage de jeune gangster sympathique et élégant auquel il prend soin de ressembler ?
Oui, l'intelligence subtile que l'on peut lire dans ses yeux, la curiosité dans chacun de ses gestes, chacun de ses choix sont parfaitement en phase avec sa nature profonde. Walther Baikal est un jeune homme plein d'entrain, bon vivant et sympathique avec tous ceux qu'il croise. Il s'intéresse à tout et à tous, ce qui fait de lui un charmant interlocuteur auquel ses connaissances n'hésitent pas à se confier. Rieur, affectueux et compréhensif, il n'a en général aucune peine à s'attirer l'amitié de ceux qui l'entourent. Et pour ceux-là, d'autres facettes de la personnalité de Walther voient le jour.
Car Walther est aussi impertinent, moqueur et terriblement collant. Son amour pour le jeu laissera savoir à ses amis que le jeune voyou peut être parfaitement déloyal lorsqu'il souhaite arriver à ses fins. Il aime mettre son honneur et même sa vie en jeu, et se montre friand de la douleur physique lorsqu'elle lui est administrée sans retenue. Mais pour ce qui est des plaisirs coupables, son masochisme n'a rien à envier à son goût certain pour le vol. Aussi bien contenté par l'adrénaline procurée par un larcin impulsif que par la satisfaction d'un pillage savamment préparé, Walther n'a pas mendié sa place auprès des truands qu'il a longtemps côtoyés.
À ce tableau mitigé vient se rapporter un tempérament désordonné qui le rend difficile à suivre pour qui n'est pas habitué. Car Walther déteste l'inactivité, peut-être plus encore que les mauvais perdants. Sa vie dans les bars de Suerebe ne lui a étrangement jamais permis d'apprécier l'odeur de la fumée de cigarette dont il cherche toujours à se protéger.
Malgré ses nombreux traits négatifs, il est une chose que l'on ne peut cependant pas retirer au jeune homme : l'affection qu'il porte à ses Pokemon comme à ses plus proches amis.
    Physique :
► Taille_ 1m90,
de carrure svelte.

► Teint_ Occidental,
légèrement halé.

► Cheveux_ Vert absinthe,
courts et tombants.

► Yeux_ Jaune doré,
vifs et perçants.

► Particularité_ Un trou parfaitement rond et lisse d'un centimètre de diamètre dans l'oreille droite. Goût prononcé pour les vêtements qu'il juge un peu classes. Talents de croupier.
► Manies_ Il joue avec son chapeau dès qu'il n'a rien à faire.
    Histoire :

Les rires gras et le vrombissement des moteurs, le bitume brûlant, les odeurs de kérosène et de plaques de métal chauffées par le soleil sous les taules ondulées des grands garages... Ouais, tout cela résumait assez bien ses souvenirs d'enfance.

Pyrite, année 1994. De là naissait sa mémoire, dans les rues fatiguées de ce vieux quartier mal-famé. De l'extérieur, cette capital du crime se donnait des allures de pauvreté et de berceau de la violence. L'étranger n'y mettait les pieds sans se sentir menacé, oppressé par la familiarité des gros-bras qui peuplaient les rues. Le commissariat avait la sale réputation d'intervenir toujours trop tard, et les flics grisonnants palpant l'oseille de la mafia s'affichaient au bar aux côtés des dealers et des loubards. Le Pyrite Grand Hôtel, éternel lieu d'entente de la Pègre, ne désemplissait jamais de ces types en costume noir, perclus de gardes du corps, dont les classieux atours et le charisme naturel détonnait sur le parpaing poussiéreux de la ville.
C'est pourtant ce tout, ce mélange facétieux de richesses et de générations qui donnait à Pyrite son charme insolent. Pour les gosses de la ville, aucune menace n'émanait de ses rues, seulement une sensation de liberté et un amour profond pour cet immense terrain de jeu que leur offrait la cité.

C'est là que Walther grandit, au milieu de ces gamins courant pieds nus sur les plaques brûlantes de la chaussée. Fils de garagiste, comme la plupart de ses amis, le boulot de sa mère se pâmait d'une petite originalité qui offrit au garçon des connaissances inhabituellement poussées sur le circuit économique de la ville. Grâce à son rôle important dans l'administration du Colisée, Mme Baikal se voyait en effet impliquée dans la grande horloge qui faisait tourner Pyrite. La femme n'hésita pas à en faire profiter son fils au plus tôt.

.."Apprends, gamin." disait-elle dans ses souvenirs, d'une voix grave ravagée par le tabac, adossée à un pilier sale de l'arène en fumant ses éternelles Torkoal's.
Et il avait appris. La réparation d'un moteur de Harley avec son père, les listes de chiffres, de clients et dates de tournois avec sa mère.

À Pyrite, les dates de tournoi c'était tout un événement. Des tas d'étrangers dans les rues, dresseurs et parieurs, toute une faune délicieusement exotique dans les bourses desquelles se faisait l'argent de poche des gamins natifs. Habitués dès leur plus jeune âge à agir en bandes, les gosses suivaient la tutelle du plus âgé, celui qui ne tarderait pas à être embauché dans quelque clan mais qui, pour l'heure, s'occupait d'organiser les petites équipes aux mains baladeuses.
À huit ans, comme chaque enfant, Walther savait glisser ses doigts dans les poches des touristes avec la furtivité d'un serpent, tout en saluant les métèques à coup de
"Bonne journée, m'sieur !".
Une seule règle : jamais fourailler dans les affaires d'un habitant de Pyrite. Ni natifs, ni immigrés. Ici, tout le monde était frère, tant qu'il entrait dans le circuit.


À treize ans, tous les gosses de Pyrite étaient déjà descendu à Suerebe. Boîtes de nuit, casino, maisons de passe, la ville souterraine plongée dans une nuit sans fin ne dévoilait tous ses trésors qu'à ceux qui osaient s'y risquer. Les plus jeunes venaient s'y perdre, rire des badauds, se faire peur dans les tunnels du métro, quand les moins jeunes descendaient s'accoquiner et rencontrer leurs premières femmes.
Ce quartier des plaisirs s'étendait sous Pyrite comme la chair faisandée sous la peau craquelée d'un cadavre. Le nid de la Pègre, mêlant filles de joies, actionnaires, chefs de clans et toutes sortes de prédateurs des bas-fonds.
L'un des jeux favoris des enfants consistait à narguer l'un des leurs, le poussant vers une épreuve de courage. Et quel meilleur endroit pour cela que la ligne 5 ? Désaffectée, cette voie de métro s'étendait sur trois cent mètres de railles tordues, de néons éclatés, et se terminait sur un cul-de-sac. Lorsqu'on s'y aventurait seul, des voix goguenardes venaient murmurer à vos oreilles, et tous finissaient par revenir en courant, comme s'ils avaient le Darkrai aux trousses.
Walther n'était pas plus courageux qu'un autre ; après tout, les gosses de Pyrite avaient pour eux la témérité de jeunes Galifeu. Était-il simplement plus curieux ? Plus terre-à-terre ? Toujours est-il que le garçon, jeté à son tour sur la ligne 5 le jour de ses treize ans, poussa l'intérêt jusqu'au dernier néon grésillant de la rame. La tension qui lui tordait le ventre disparut brusquement lorsqu'il tomba nez-à-nez avec la créature responsable de ces hallucinations auditives. Le petit spectre avait élu domicile dans ce lieu sombre et cherchait à défendre son territoire, conclut-il. Mais il y avait quelque chose de plus. Quelque chose que le jeune Walther Baikal perçut dans le regard embrasé de cette créature. Cette soif indéfinissable qui le tiraillait depuis longtemps déjà et qui, comme dans un miroir, se reflétait dans les yeux brillants de la petite citrouille.

À cette époque, les jeux des siens ne suffisaient déjà plus à satisfaire Walther. Il avait besoin d'aller toujours plus loin, de compliquer la chasse, de viser plus haut. Il avait des amis, certes, mais aucun d'eux, jamais, ne le suivait. Ses plans étaient toujours trop farfelus, trop dangereux pour un résultat tout à fait puéril disaient-ils. Où donc était passé leur sens du jeu, se demandait Walther. Alors, il revint vers le petit spectre reclus. Une fois, trois fois, dix fois. La Pitrouille avait cette fièvre elle aussi. Cette fièvre du risque, cette fièvre du jeu qui portait le jeune garçon. C'est ainsi que commença leur association.


Dix-sept années de vie offrirent à Walther Baikal une intelligence exacerbée et une indécrottable audace. Il trouva rapidement sa place dans une des familles dominantes de Pyrite, négligeant la sienne au détriment de ses nouveaux frères et de quelques pères qui placèrent en lui de grands espoirs. Apprécié par ses chefs pour sa sagacité et son aplomb un brin indiscipliné, l'assurance du jeune gangster lui fit rapidement gravir les échelons. S'intéressant à tout, économie comme moyens de pression, toujours prêt à tenter de nouvelles démarches, le duo formé par Walther et son inséparable spectre Rocket participa à l’essor de ce groupe de truands que les citoyens de Pyrite surnommaient amoureusement "Gunners", en raison de leur marque de reconnaissance : le trou parfaitement rond et lisse dans l'oreille droite.

Tout changea cependant lorsque Walther franchit la barre des vingt-cinq ans. Ce qui passait à ses débuts pour de la hardiesse devint peu à peu la marque de son insubordination, et il ne fallut pas longtemps avant que les premières sentences tombent.
Bientôt plus amusé par la colère de ses supérieurs que par les cibles du clan qui se montraient régulièrement soumises, le jeune gangster ne fit qu'empirer son cas, allant parfois jusqu'à paraître prendre plus de plaisir à la punition qu'à ses actes d'impertinence. Sa réputation d'effondra, et sa place dans les échelons dégringola, si bien qu'à ses vingt-huit ans Walther fut exclu du clan et remercié de ses services d'une prime directement placardée sur sa tête. Car en effet, le jeune homme n'avait pas attendu sa révocation pour filer avec les gains de sa dernière arnaque, s'appropriant ainsi une jolie petite somme destinée à ses supérieurs.


Deux ans après son départ précipité de Rhodes, Walther Baikal faisait le point dans son appartement miteux de la rue des Scobolide. Juché sous les toits d'un vieil immeuble qui formait l'angle d'une sombre impasse, le studio crasseux peinait à accrocher le moindre rayon de soleil, et restait en général dans la pénombre. Seul l'écran silencieux d'une télévision du siècle dernier répandait sa lueur grésillante sur les formes amorphes d'un canapé élimé et d'une table basse en pin écaillé.
Accoudé à l'unique fenêtre du logis, le jeune homme fixait le papier peint déchiré en sirotant une bière fraîche. Ses pensées vagabondaient, perdues dans les souvenirs de sa Pyrite natale. Aurait-il cru qu'un jour il se sentirait dépaysé ? D'un coup d’œil, il vérifia que le combiné de son téléphone était bien raccroché. L'appel qu'il attendait commençait à tarder.

Avec un soupir, et sans toutefois se départir de son sourire, Walther se détourna, posant son deuxième coude sur le bord de la lucarne. Son regard embrassa la rue qui s'étendait six étages plus bas. Loima était une ville agréable à son goût, encerclée de marais qui plongeaient la bourgade dans une perpétuelle chaleur humide. Rocket et lui adoraient ce climat. L'appartement avait de plus l'avantage de se situer non loin de l'arène, les laissant profiter de la vue de cet immense bâtiment duquel allaient et venaient les dresseurs de passage. Un point de vue parfait pour étudier avec soins les proies de ses larcins.
Walther secoua la tête en riant tout bas. Une nouvelle gorgée de bière l'aida à chasser ces pensées. Il ne devait pas se faire remarquer. Pas tout de suite. Pas à Loima. Cette ville était son pied-à-terre pour l'instant, et il avait bien suffisamment de ressources pour tenir quelques mois sans avoir besoin de faire les poches de qui que ce soit.
La chaleur douce d'une fourrure soyeuse vint chatouiller sa main libre. Walther souleva son bras pour laisser à sa Pitrouille la place de venir se percher sur le rebord de la fenêtre, et il se mit à la caresser doucement, laissant le petit spectre entrer en communion avec ses pensées.


.. "Tu voudrais déjà rentrer ?" demanda Rocket en parcourant la rue de ses jolis yeux safran.
Comme toujours, cette petite voix enfantine résonnait dans sa tête comme un millier de grelots rieurs. Une voix cristalline, chaleureuse et espiègle de petite sœur.
Le jeune homme termina sa boisson et jeta la canette vide derrière lui. Il déposa un baiser affectueux sur la tête de sa partenaire avant de lui répondre en riant :


.. "Bien sûr que non ! Pyrite nous avait déjà confié ses secrets les plus palpitants, il n'y a rien à regretter. Je suis sûr que nous nous amuserons bien plus sur ce continent."
Rocket fit entendre sa confirmation d'un ronronnement appréciateur sous les caresses du garçon. Tout comme lui, elle avait jugé leur fuite comme un parfait prélude à de nouvelles rencontres, de nouvelles farces, une nouvelle histoire plus captivante encore que la précédente. Les mystères de Rhodes s'étaient essoufflés, rendus ennuyeux par la facilité avec laquelle leur ancien statut leur permettait de s'en emparer. Ces nouvelles terres, plus vastes, annonçaient un terrain de jeu passionnant.

La sonnerie tant attendue retentit finalement. Walther quitta la fenêtre, abandonnant sa partenaire qui souhaitait profiter encore un peu de la brise extérieure. Rocket écouta d'une oreille distraite la demi-conversation qui s'élevait dans son dos ; trois jours encore. Plus que trois jours, et ils auraient les autorisations nécessaires pour voyager librement à travers Alcea sous couvert d'une situation d'apprenti herboriste. Les paroles de Walther confirmèrent le délai. La Pitrouille laissa une pleine satisfaction la gagner. Son regard se perdit sur le grand panneau publicitaire qui se dressait un peu plus bas, parfaitement lisible du haut de cette lucarne, et elle ne put s'empêcher de sourire férocement. Elle était presque sûre que c'était la vue sur cette affiche plus que l’appartement lui-même qui avait tapé dans l’œil de son compagnon humain lorsqu'ils avaient mis les pieds en ce lieu la première fois. Depuis trois mois qu'ils habitaient ici, Walther ne semblait pas se lasser de la voir se dresser fièrement devant lui, comme pour le menacer. "Taux de criminalité en hausse", "rejoignez l'école de Rangers de Frewick", "osez la sécurité" et tout autant de slogans qui ravissaient le duo d'ex-gangsters. Ces forces de l'ordre jugées inébranlables leur offriraient un adversaire de choix. Car sans challenge, comment pourraient-ils enfin se laisser aller à ce mode de vie qui leur était si cher ?

Informations du Pokemon

► Pokemon_ Pitrouille (niv. 10) [translateur]
► Surnom_ Rocket
► Sexe_ Femelle
► Particularité_ Les yeux virant au rouge lorsqu'elle entre en transe. (taille Normale)
    Histoire :
Comme beaucoup de jeunes de Pyrite, Walther avait pour habitude de fureter dans les coins sombres de Suerebe. C'est dans une vieille branche désaffectée du métro de cette cité souterraine que le garçon a rencontré Rocket, au terme d'un test de courage.
Amusé par la peur que ce Pokemon sauvage provoquait chez la plupart des gosses, Walther revint la voir régulièrement. Tous deux mirent au point de nombreuses farces, profitant des capacités spectrales de la Pitrouille pour surprendre ou effrayer leurs proies. Peu à peu, les espiègleries firent place à des plans plus élaborés, destinés à quelques menus larcins ou a de petites vengeances rémunérées. Leur complicité fut telle à cette époque qu'elle se mua rapidement en une féroce amitié. Et bientôt, aucun d'eux ne put vivre sans l'autre, se nourrissant chacun de l'extrême vitalité et de la malice de son compagnon.
Rocket est un Pokemon dynamique, toujours prêt à s'amuser malgré les dangers parfois encourus. Elle dissimule sous son apparence de charmante petite chose rieuse un esprit malin et facétieux. Elle perçoit Walther comme un véritable frère, persuadée que l'essence maligne du garçon découle d'une appartenance à la race des Spectres.

► Pokemon_ Marisson (niv. 5)
► Surnom_ Calibre
► Sexe_ Mâle
► Particularité_ Rachitique, l'air mauvais, quelques dents en moins.
    Histoire :
Un an avant son départ de Rhodes, Walther a dérobé ce Pokemon à un jeune noble d'Unys en visite à Phénacit. Contrairement à la plupart de ses autres larcins, le Marisson était un trophée rare que le jeune homme décida de garder pour lui-même. Il s'agissait alors d'une des innombrables insubordinations qui lui valurent de multiples corrections et, quelques temps plus tard, le renvoi de son clan ainsi qu'une prime de petit voyou sur son front.
Tout d'abord considéré comme une simple pièce de collection destinée à faire rager ses supérieurs, Calibre finit par taper dans l’œil de son dresseur grâce à son naturel casse-cou et sa propension à éviter toute forme de réflexion. Fonctionnant à l'instinct, le Marisson n'a pas peur de prendre des coups. Il est brutal et pas très malin, et c'est ce qui plait à Walther et Rocket.

Informations du Joueur
► Prénom/Surnom_ Kani, Basil, Kenshi, ...
► Âge_ 25 ans
► Comment es-tu arrivé ici ?_ DC de Kenshîro Kiriyama
► Parrain_ Moi-même o3o
► Avatar_ Blazblue - Hazama
► Une question ?_ Nan !


Dernière édition par Walther Baikal le Sam 23 Aoû - 23:40, édité 17 fois
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Hop ! Petite tentative de shiny °^°
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Le membre 'Walther Baikal' a effectué l'action suivante : Destin

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Sam 23 Aoû - 13:42
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Hey hey, ça en est où la fiche ? =3
Akito Aojima
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Sam 23 Aoû - 15:34
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Ficher terminée ! o3o
Désolée pour le retard, j'ai eu un petit blocage sur le caractère [°°'] 
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