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 Hawkins Wayne

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Lucy Colman
Lucy Colman
Ven 18 Juil - 0:26
Eglise de la croix d'or

Messages : 338

Casier judiciaire
Statut: Citoyen anonyme
Jauge criminalité:
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Informations du dresseur
• Nom : Hawkins
• Prénom : Wayne
• Sexe : Masculin
• Date de naissance : 12.09.1994 (25 ans)
• Lieu de naissance : Merya
• Lieu de résidence : Frewick
• Orientation sexuelle : Bisexuelle
• Métier : Ranger
Description du dresseur
    Caractère :
Tu es un jeune homme calme, bienveillant, bien que téméraire et têtu, tu fais ton possible pour faire le bien autour de toi même si ce n'est pas toujours évident. Tu aimes prendre soin des autres, être une sorte de grand frère pour les plus jeunes, tu ne souhaites pas qu'ils fassent les mêmes erreurs que les tiennes. Tu n'es pourtant pas quelqu'un de très expressif, sévère la plupart du temps, un regard impassible demeure sur ton visage le plus clair du temps, mais cela ne t'empêche pas de sourire lorsque cela est nécessaire, ou tout simplement lorsque l'envie te prend.

Tu détestes la violence, et pourtant violent tu l'as été, pendant longtemps, c'est un passé que tu regrettes amèrement, dont tu as beaucoup appris, mais qu'as-tu laissé en échange ? Une personne précieuse à tes yeux. Tu n'as pas oublié, bien au contraire, pourtant tu vas de l'avant et si le passé ne te rattrapes pas, c'est parce que tu ne t'y accroches pas désespérément.

On ne dira pas que tu es devenue pacifiste non plus, tu restes quelqu'un qu'il ne vaut mieux pas énerver malgré tout. Tu es une personne qu'il vaut mieux compter parmi ses amis plutôt que dans ses ennemis. Mais tu as le sang moins chaud qu'auparavant, tu as appris à contrôler tes pulsions et à rester calmes du moment que l'on ne te met pas à bout. Tu es malgré tout cruellement rancunier, lorsqu'une personne fait la moindre chose qui n'a pas plus, tu ne l’oublie jamais et tu ne porteras jamais cette personne dans ton cœur.

Les études, cela n'a jamais été ton fort, tu n'es pas non plus totalement mauvais lorsque tu y mets du tient, mais tu préfères l'action, la pratique à la théorie. Rester à une table à ne rien faire ne te dérange point, mais tu préfères t'assoupir ou jouer à la console plutôt que de potasser. C'est pourquoi après le lycée tu as enchaîné les petits boulots afin de faire vivre tes frères jusqu'à ce qu'ils obtiennent eux aussi leur diplôme au lycée, Avant de finalement entrer en formation de ranger, cela t'as permis d'acquérir pas mal d'expériences dans pas mal de domaines.
    Physique :
• Taille : 1m92
• Teint : Pâle
• Cheveux : Blonds
• Yeux : Dorés
• Particularité : Porte toujours des lunettes de soleil bleus.
    Histoire :
    Un adolescent à problèmes
Ce jour-là tu arpentais les couloirs déserts de ton collège, traînant des pieds, les mains dans les poches, suivant un professeur au regard sévère, comme si tu y étais obligé. Ton regard était impassible, blasé, ton visage quant à lui était salement amoché et bien que ton pansement sur le nez te gênait, cela ne t'empêchait pas de bailler afin de montrer l'ennuie de la situation. Ton collège, le collège Malosse, était réputé pour être mal fréquenté, mais de tous les caïds de l'établissement, tu étais bien l'un des pires. Tu continuais ton chemin ignorant les regards accusateurs de l'adulte. Qu'avais-tu encore fait ? Quelque chose de grave sans doute, tu savais que tu avais été trop loin et pourtant tu te fichais bien de ce qui pouvait t'arriver, comme si tu n'avais rien à perdre, de toute façon, tu étais déjà catalogué comme délinquant par tout le personnel et les élèves de l'établissement et personne n'avait guère envie de se fatiguer pour changer les choses.

« Je vous l'ai amené M. le proviseur. »
« Très bien, merci. Vous pouvez disposer M. Tanaka. »

Tu t'avanças sans dire un mot, le regard toujours aussi vide d'émotion, tu t'affalais alors sans gêne sur le fauteuil en face du bureau, baillant à nouveau. Tu savais déjà à quel baratin tu allais avoir à faire et tu ne le redoutais pas, non tu t'en fichais, tu allais juste l'écouter d'une oreille distraite pour ensuite rentrer chez toi. Combien de jours d'exclusions allais-tu te prendre cette fois ? Trois jours ? Une semaine ? Peu importe ce n'était pas comme si tu allais souvent en cours de toute façon. La seule raison de ta présence dans cet établissement, c'était l'ennui et cela te donnait une raison de rester loin de ce chez toi que tu détestais. Le proviseur consulta quelques feuilles avant d'enfin s'adresser calmement à toi...

Entretien chez le proviseur:

À la fin de l'entretien, tu disposais, mais tu ne rentrais pas chez toi, non, jusqu'à la tombée de la nuit, tu errais dans les rues, moins longtemps tu restais chez toi et mieux tu te portais. Mais il fallait bien que tu y retournes, dans cet appartement, sombres, sales, dont le sol serait juché de bouteilles et de canettes d'alcool vides, tu y retrouverais sans doute ton père, gisant sur le sol ivre mort. Mais il fallait bien que tu y retournes, que tu t'occupes de la seule raison qui faisait que tu t'accrochais malgré tout à cette vie misérable : tes deux frères, tous deux âgés de cinq années de moins que toi, des jumeaux. Cela faisait à présent quatre que votre mère avait succombé à la maladie et depuis, pour votre père, c'était comme si vous n'existiez plus, vous étiez comme des inconnus vivant dans la même maison.

Tu te disais qu'un jour tu partirais, tu économisais pour cela, il s'agissait surtout d'argent volé, mais tu réalisais parfois de petits boulots malgré ton jeune âge, en mentant, mais très vite la vérité était découverte et tu te faisais alors immédiatement licencier malgré les nombreuses excuses que tu pouvais donner. Mais tes économies ne restaient jamais bien longtemps, car tout l'argent qu'obtenait ton géniteur des aides était dépensé en alcool et en jeux d'argent et il fallait bien subvenir aux besoins de tes frères, leur achetant des fournitures pour les études, de quoi se nourrir, se divertir. De toute façon, tu ne partirais pas en les abandonnant chez ton géniteur, et au moins celui-ci ne touchait pas à l'argent que tu obtenais et s'il essayait, tu n'hésiterais pas à lui faire payer.

    Lorsque tout va trop loin
Tu as évité le renvoi définitif, car seul le collège Malosse acceptait la mauvaise graine telle que toi. On ne sait par quel miracle tu as reçu ton diplôme et tu étais à présent au lycée, mais malgré tout, tu ne t'étais toujours pas calmé. Non. Tu étais encore pire. On ne te voyait que rarement en classe et dans l'établissement, car tu avais trouvé une occupation bien plus distrayante : un gang qui semait le trouble dans la ville de Merya, tu en étais désormais à la tête. Te battre te procurait satisfaction et tu utilisais n'importe quel prétexte pour tabasser un innocent, un mot, un regard, un geste, tout ceci mal interprété en faisait des excuses parfaites, bien qu'exagérées. Seuls les personnes qui comptaient pour toi étaient capables de te calmer, mais tes frères venaient tout juste d'atteindre l'âge de comprendre que quelque chose clochait chez toi et de toute manière, tu faisais tout pour leur cacher ta véritable nature, car malgré tout, tu ne souhaitais qu'ils deviennent aussi pourris que toi, tu considérais ton cas comme irrattrapable. Du coup, seule ton amie d'enfance était capable de réellement t'arrêter, vous vous connaissiez depuis que vous étiez enfant, elle t'a vu grandir, elle t'a vu devenir ce que tu étais devenu aujourd'hui, un monstre sanguinaire, mais surtout, un être torturé. Et pourtant, elle ne te fuyait pas, elle t'acceptait telle que tu étais, elle voyait du bon en toi, elle voyait ta bonté cachée par la couleur sombre et rougeâtre de la violence et elle souhaitait la faire ressortir afin d'étouffer les ténèbres qui te rongeaient. Elle était ta lumière, une lumière que tu as perdue, car tu ne lui avais pas dit, non, tu ne lui avais pas dit que tu avais rejoint une bande de gamins aussi immatures que toi et l'apprendre à ses dépens lui a coûté la vie...

En cette sombre journée, tu étais comme à ton habitude partis dans cette impasse sombre qui cachait un immeuble abandonné qui te servait de planque. Depuis quelques temps tu n'étais plus le même, enfin, cela faisait des années que c'était le cas, mais, elle le sentait, elle sentait que tu changeais encore plus, que tu n'allais pas vers le bon chemin, que si tu continuais, tu ne pourrais plus faire demi-tour. Alors, un après-midi, elle t'avait suivis et avait découvert avec effroi ta nouvelle bande avec qui tu organisais du commerce louche. Tu amassais de l'argent sale, mais si encore tu le faisais seulement pour tes frères... Seulement vois, tu prenais du plaisir à te rebeller, à aller à l'encontre de ce que t'ordonnais ces adultes que tu détestais, aujourd'hui tu te qualifierais de totalement immature, car tu as appris de tes erreurs. Mais à quel prix ?

Elle ne t'avait rien dit sur sa découverte, elle n'osait pas, elle avait peur, peur de toi et de tes soi-disant amis. Mais malgré tout, elle voulait t'arrêter, non elle voulait te sauver, c'est pourquoi chaque jour, elle te suivait, tentant de prendre son courage à deux mains pour venir te voir, pour te raisonner, mais la terreur l'emportait toujours. Puis un jour, elle n'aurait pas dû être là, mais elle t'avait suivi comme à son habitude et toi, tu n'avais toujours pas vu, tu n'avais toujours pas compris, même lorsque tu étais avec elle, tu ne remarquais pas ces petits signes d'inquiétude, ces complaintes silencieuses, mais pourtant visibles, non tu ne voyais rien ou plutôt, tu ne voulais rien voir. Et ce jour-là, il y eut une embuscade dans ta planque, un autre gang, un gang ennemi qui cherchait des règlements de compte et la première personne sur laquelle ils étaient tombés c'était elle, caché à l'entrée de l'immeuble t'observant. Ils l'ont prise pour l'un des tiens, pour quelqu'un de solide qui savait se battre, c'est pourquoi il n'avait pas retenue leurs coups et qu'elle n'y avait pas survécus.

Quant à toi, tu n'avais rien vu, trop occupé à te débarrasser des envahisseurs qui voulaient se débarrasser de toi et de ton groupe qui faisait concurrence. Puis soudaine, lorsque ton regard passa vers l'entrée lumineuse de la planque, tu le vis, son corps gisant sur le béton, couvert de sang... Tu restas choqués pendant quelques secondes... Pourquoi ? Pourquoi était-ce arrivé ? Comment était-ce arrivé ? Tu n'arrivais plus à penser. Te précipiter vers elle pour la sauver ? À peine tu y avais pensé, tu voulais détruire, écraser, tuer ceux qui avaient osé poser la main sur elle. Tu laissas se déchaîner ta rage, frappant, tabassant, piétinant tous ceux qui se trouvaient sur ton passage. Mais parmi ceux que tu avais mis à terre au seuil de la mort, il y avait également tes alliés, ta haine t'avais ôté toute conscience et tu ne faisais plus aucune distinction entre amis et ennemis, ce qui donna l'avantage à ces derniers qui se jetèrent tous sur toi... Tu étais fini.

Tu repris connaissance dans un hôpital, salement blessé, quant à elle, elle n'avait pas survécu. Un des ranger qui était intervenu juste à temps te l'avais apprit, l'air grave. Non seulement tu avais perdu un être cher, mais en plus tu en étais responsable et les forces de l'ordre n'avaient pas l'intention de te laisser t'en tirer après toutes tes fautes. Le fait que tu étais mineur te sauva d'un lourd procès, une enquête sur ta vie familiale fut lancé, tes frères et toi vous furent immédiatement envoyé en foyer d'accueil, par chance sans être séparé. De lourd reproche t'avais été fais, mais tu les acceptais, bien que cela t'énervait, tu n'avais plus la force de te mettre en colère. Tu fus tout de même condamné à des travaux généraux pendant toute une année.

    Découvrir un quotidien paisible
Tu vivais à présent dans la ville Frewick et bien que tu t'étais nettement calmé, il était tout de même difficile de t'approcher, tu étais comme un animal farouche ne supportant pas que l'on s'approche de son espace vital. Il t'arrivait encore parfois de te battre, mais de petites bagarres sans conséquence, les visions d'un passé encore trop récent finissait bien vite par te calmer. Mais ton tuteur était un ranger, dur, sévère, mais juste, il réussissait à te donner toute l'autorité dont tu avais besoin pour te remettre sur les rails. Au final après de nombreuses altercations, tu finissais par gagner en maturité et tu avais fini par le respecter, au final, il t'avait éduqué toi et tes frères comme un père, malgré ton cas qui avait l'air désespéré, il n'avait pas abandonné. Tu séchais de moins en moins les cours maintenant que tu avais changé d'établissement, tu ne voulais plus être un mauvais exemple pour tes frères dont tu continuais à t'occuper, bien qu'ils étaient de plus en plus assez âge pour s'occuper d'eux eux-mêmes, puis finalement tu réussis à obtenir ton diplôme.

Très vite, tu quittas le cocon familial, t'installant dans ton propre studio à Frewick, tu n'avais pas suivi le conseille de ton tuteur qui était de continuer tes études, tu savais très bien que ce n'était pas pour toi et puis qui voudrait d'un ex-délinquant. Car, oui, tu avais bien changé, tu avais appris à contrôler tes pulsions de violence, mais surtout tu avais gagné en maturité et tu comprenais à quel point tu étais stupide. Pendant quatre années, tu avais enchaîné les petits boulots pour vivre, jusqu'à ce que tu décides à tes vingt-deux ans de suivre une formation de ranger, d'une part, car tu voulais tenter de remettre dans le droit chemin les petits délinquants qui se trouvaient être aussi immatures que toi tu l'étais, mais également par admiration que tu avais éprouvé petit à petit pour ton tuteur lors du reste de ton adolescence... À présent à bientôt tes vingt-six ans, tu étais à présent un ranger qualifié et tes frères étaient devenus des gens bien comme tu l’espérais. L'un était devenue Idole et était retourné vivre à Merya, l'autre était devenue devenir un écrivain de renommé, il avait même réussi à s'installer dans la ville de Domuraille. Très souvent tu allais les voir jouer le grand frère poule, un quotidien paisible c'était installé et tu en profitais pleinement.

Informations des Pokemon
• Pokemon : Kungfouine
• Surnom : Tsubaki
• Sexe : ♀
• Particularité : Pelage rouge et yeux vif (commence lvl 10)
    Histoire :
Tu l'as rencontré un de ces fameux jour d'exclusion, dans lesquels tu n'étais pas censé sortir de chez toi. Alors que tu flânais dans les hautes herbes de la plaine, tu entendis soudainement un faible son, comme une plainte, des couinements de douleurs, manifestement pas humain. C'est là que tu la vis, cette petite Kungfouine sauvage, coincé dans un piège à braconnier, placé sur le rebord de la rivière. Tu t'approchas doucement de la bête pour ne pas l'effrayer afin de la libérer, mais bien sûr le monstre de poche apeuré ne se laissa pas faire, te mordant fermement à plusieurs reprises t'arrachant quelques grognements.

« T'appelles ça mordre toi ? Même pas mal. »

Tu l'avais dis ainsi comme pour te moquer de lui bien que cela était évidemment un mensonge. Tu réussis finalement à libérer la bête, qui fila immédiatement se cacher en boitant. Tu haussais les épaules et te mis à quitter les lieux, l'animal s'en remettrais bien de lui-même. Mais la petite Kungfouine te suivi, intrigué, malgré tout tu l'ignorais, jusqu'à ce qu'elle devienne soudainement plus collante. Très vite tu te rendis compte que ce qui l'intéressait réellement c'était le repas qui se trouvait dans ton sac. Soupirant, tu te posas pour manger et décida de partager. Et depuis la petite fouine ne te lâchait plus d'une semelle si bien que tu avais finis par aller acheter une Pokeball pour pas qu'elle soit constamment dans tes pattes, pour enfin finir par t'y attacher réellement.

Tsubaki est une Kungfouine très fidèle et très attaché à son dresseur, c'est une tête de mule qui est également très jalouse et possessive que ce soit envers les pokemon ou envers les humains.

• Pokemon : Kraknoix
• Surnom : Kamui
• Sexe : ♂
• Particularité : / (Second Pokemon)
    Histoire :
Il viendrait du désert de Scillia, Tu l'as reçu de ton tuteur lors de ta promotion en tant que ranger à part entière avec ton arme et ton insigne. Il l'aurait attrapé lors d'une mission effectué dans la région voisine. Kamui est un Kraknoix que tu as difficulté à gérer et à éduquer car il n'en fait qu'à sa tête et ne peut s’empêcher de mâchouiller tout ce qu'il trouve. Une sorte de défi que t'as  lancé le vieux ranger malgré toi, afin que tu lui prouves tes capacités.

Informations du Joueur
• Prénom/Surnom : Nerynn
•  Âge : 19 ans
• Comment es-tu arrivé ici ? //
• Parrain : //
• Avatar : Heiwajima Shizuo - Durarara
• Une question ? : //


Dernière édition par Wayne Hawkins le Mar 22 Juil - 3:23, édité 22 fois
Destiné
Destiné
Ven 18 Juil - 1:03
PNJ Destiné

Messages : 18443

Le membre 'Wayne Hawkins' a effectué l'action suivante : Destin

'Shiny' :
Hawkins Wayne  Shiny
Résultat :
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Lucy Colman
Lucy Colman
Mar 22 Juil - 3:25
Eglise de la croix d'or

Messages : 338

Casier judiciaire
Statut: Citoyen anonyme
Jauge criminalité:
Hawkins Wayne  Left_bar_bleue0/100Hawkins Wayne  Empty_bar_bleue  (0/100)

Hop et wala c'est terminé, j'en suis pas spécialement contente, mais bon , voilà une bonne chose de faite. \ô/
Master
Master
Mer 23 Juil - 1:12
Fondateur

Messages : 10710

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Hawkins Wayne

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