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 Ayako - "I used to rule the world ♫ "

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Anonymous
Invité
Lun 14 Juil - 11:23


Informations du dresseur
• Nom : Tokonatsu
• Prénom : Ayako
• Sexe : Féminin
• Date de naissance (+ âge) : 21/04/1997 – 23 ans
• Lieu de naissance : Eternia
• Lieu de résidence : Domuraille
• Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
• Métier : Dresseur
Description du dresseur
    Caractère :
La plupart des gens diront que je suis similaire à un bon nombre d’autres.
Je souris rarement, je m’attache très peu et je suis plutôt froide et distante. Je ne parle que très peu, jugeant que de tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. Je déteste l’hypocrisie et suis un peu trop franche, limite agressive, quand quelque chose me déplaît ou ne suit pas mes valeurs.  Je reste cependant faible face aux personnes que j’aime, leur laissant passer tout et n’importe quoi. J’aime crier à qui veut l’entendre que je suis insensible et rancunière, mais ce n’est pas le cas. La vue d'une cheminée industrielle me remplit d'effroi. L'été est étroitement lié à la mort dans mon esprit, sans que je sache pourquoi. Il me faut en moyenne trois heures et demie pour manger une clémentine. J'ai pleuré quand mon tamagotchi est mort. Je suis incapable de sentir ou de toucher de la viande, même à travers de la cellophane. S’il y a bien un truc dont j'ai horreur c'est de faire la bise aux gens.

Mon paradoxe réside dans le fait que je déteste l’hypocrisie, mais que ma vie est basée sur un mensonge, et que je suis la plus grande manipulatrice du monde.
Qu’ai-je donc de commun avec ces personnes inconsidérées ? Quand m’a-t-on vue m'écarter des règles que je me suis prescrites et manquer à mes principes ? Je dis mes principes, et je le dis à dessein : car ils ne sont pas, comme ceux des autres femmes, donnés au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude : ils sont le fruit de mes profondes réflexions. Je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage.
Entrée dans le monde dans le temps où, fille encore, j'étais vouée par état au silence et à l'inaction, j'ai su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu'on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité les discours qu'on s'empressait de me tenir, je recueillais avec soin ceux qu'on cherchait à me cacher.
Cette utile curiosité, en servant à m'instruire, m'apprit encore à dissimuler: forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m'entouraient, j'essayai de guider les miens à mon gré. Encouragée par ce premier succès, je tâchai de régler de même les diverses expressions de ma figure. Si j’étais triste, je m'étudiais à prendre l'air de la joie. J’ai été jusqu'à me causer des douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l'expression du plaisir. Je me suis travaillée avec le même soin et plus de peine pour réprimer les symptômes d'une joie inattendue.
J'étais bien jeune encore, et presque sans intérêt, mais je n'avais à moi que ma pensée, et je m'indignais qu'on pût me la ravir ou me la surprendre contre ma volonté. Je m'amusais à me montrer sous des formes différentes. Sûre de mes gestes, j'observais mes discours : je réglais les uns et les autres, suivant les circonstances, ou même seulement suivant mes fantaisies. Dès ce moment, ma façon de penser fut pour moi seule, et je ne montrai plus que celle qu'il m'était utile de laisser voir.
Ce travail sur moi-même avait fixé mon attention sur l'expression des figures et le caractère des physionomies. J’y ai gagné ce coup d'œil pénétrant, auquel l'expérience m'a pourtant appris à ne pas me fier entièrement mais qui, en tout, m'a rarement trompée.
Je n'avais pas quinze ans, je possédais déjà les talents auxquels la plus grande partie des plus grands de l’Histoire doivent leur réputation, et je ne me trouvais encore qu'aux premiers éléments de la science que je voulais acquérir.

Donc non, on n’est pas pareil.)
    Physique :
• Taille : 1m68
• Teint : Pâle
• Cheveux : Vert
• Yeux : Jaune foncé
• Particularité : Lorsque je m’énerve, ou suis contrariée, un signe étrange apparaît sur mon front. Sans doute des veines qui ressortent, au demeurant…
    Histoire :
Tout me destinait à vivre une vie paisible, tranquille et sans obstacle trop grand pour moi. Fille d’une journaliste et d’un riche commerçant, je n’avais qu’à laisser le soleil se lever et se coucher pour voir fleurir autour de moi toutes les espérances humaines. Je vivais dans une région très éloignée d’Alcéa du nom d’Eloredia, prospère et en paix. J’avais un avenir en or, mais j’étais bonne, et pour mon plus grand malheur, j’ai voulu être grande. Malgré les réticences de mes parents, casaniers et assez peu adeptes du danger, je partis pour une aventure Pokémon, en compagnie d’un Goupix, ou plutôt d’une Goupix, à laquelle je m’attachai très très rapidement. Nous vécûmes nos premières épreuves ensembles, nos premières défaites, nos premières victoires… L’adrénaline et le bien-être que j’éprouvai en sillonnant les routes de ma région me confirmèrent que j’avais choisi la bonne orientation. C’était ce que je voulais faire, et c’est ce dans quoi je m’épanouirais. Je m’en étais fait la promesse.

Ce fut à ce moment-là que les premières « sectes » firent leur apparition au poivron d’Eloredia, et que les autorités locales commençaient à être débordées : peu adeptes du crime et de la délinquance, ils durent s’adapter en vitesse pour lutter contre cette épiphénomène qui prenait de plus en plus d’ampleur.

De mon côté, j’enchaînai les captures. Le scientifique de ma ville natale, Eternia, le professeur Akiyama, m’avoua que jamais aucun des dresseurs desquels il s’occupait n’avait réussi si vite à fournir autant de Pokémon. Ses premières réussites m’encouragèrent, et je me présentai alors devant mon premier champion d’arène. Aku était plus jeune que moi, et décrit comme LE prodige d’Eloredia. Champion de l’arène de type Psy de la ville de Mégami, jamais je n’avais rencontré de gamins aussi effrayants. Douze ans à peine, aucun sourire, une blancheur cadavérique et des cheveux cachant un de ses yeux. Son autre œil semblait vous percer jusque dans votre âme, et vous scrutait indéfiniment, sans même se préoccuper du combat qui faisait rage dans l’arène. Il gardait cet œil malsain sur vous, observant chacun de vos gestes. La lutte fut acharnée, et encore une fois, la sensation incroyable qui traversait mon corps à chacun des ordres que je donnais à mes combattants me confirma mon envie de continuer dans cette voie. J’étais née pour être Maître Pokémon.
Aku fut finalement vaincu, et je reçus le badge sans qu’il ne daigne m’adresser la parole. Il me le donna, tourna les talons et s’en alla juste, sans laisser transparaître la moindre émotion. Ce fut le dresseur le plus étrange que je croisai de ma vie, et j’eus l’occasion de le recroiser, bien plus tard dans mon aventure. J’y reviendrai, un jour, peut-être…

Avec le temps, les badges s’accumulèrent, et je pus participer à la ligue Ishis d’Eloredia. Goupix avait évolué en Feunard, et je disposais en plus à mes côtés d’un Lamantine, d’un Roucarnage, d’un Absol, d’un Milobellus et d’un Héliatronc. A Eloredia, la ligue se passe de la façon suivante : chaque année, les dresseurs ayant obtenu huit badges peuvent prétendre à devenir maître de la ligue, et participent à un tournoi préliminaire, dans lequel peut se greffer à leur gré les champions d’arène de la région. Puis, une fois le vainqueur désigné, ils sont confrontés au Conseil des 4, puis au maître de la ligue. En d’autres termes, le chemin pour devenir Maître d’Eloredia était long, difficile et sinueux. J’avais confiance en moi, peut-être un peu trop. J’échouai en quart de finale, tandis que le vainqueur du tournoi préliminaire finit sa route contre le deuxième membre du Conseil.
Mais ma performance ne fut pas vaine, car mes talents et mon jeune âge me permit d’être contactée par la Ligue, dans le but de devenir champion d’arène de Sakaro, une ville au pied des montagnes et dont l’arène locale distribue le Badge Ardent, symbole de victoire contre le champion de type feu. J’acceptai avec grand plaisir, car cela me permettait, entre autre, de participer chaque année au tournoi préliminaire. Puis, je me disais également que comme les dresseurs devaient passer par moi pour accéder à la ligue, il serait simple de les éliminer et de les connaître avant de les affronter lors du tournoi annuel. Quelle ne fut pas mon erreur ! Feunard était de type feu, et il était le seul prétendant à mon équipe pour l’arène. C’est là que je compris pourquoi tant de mondes réussissait à vaincre ce qui était « l’élite » de la région : leur équipe n’était qu’éphémère et superficielle comparée à leur réel potentiel. Car un champion recevait trois ou quatre adversaires par jour…
Je donnais bien plus de badges que je ne le souhaitais, mais j’ai vite compris que c’était le lot des champions d’arène.

Deux fois je me présentai en tant que championne au tournoi préliminaire, deux fois j’échouais. La deuxième fois, j’échouai en finale, après un combat acharné contre un dresseur  pour qui c’était la première fois. Je remarquai alors que mon poste de championne d’arène me prenait bien trop de temps, et que mon entraînement avec mon équipe type n’avançait pas. Je quittai donc au cours d’année mon poste et me préparai intensivement, quite à ne plus dormir, ou très peu, pour réussir cette fois-ci. J’allais sur mes 20 ans, et j’étais bien décidée à devenir Maître de la Ligue cette fois-ci… Ce que je réussis à faire.

Le Maître en poste était un vieil homme bourgeois, avec des cheveux grisonnants et un teint mat. Un certain charme se dégageait de lui, et on sentait dans sa façon de faire qu’il était en véritable communion avec ses Pokémon. Mon cœur battait plus que jamais lorsque j’envoyai mon premier Pokémon, et je sentais chaque cellule de mon corps en ébullition. C’était le combat le plus important de ma vie, et ce fut également le plus difficile. La tension monta encore d’un cran (alors que personne ne croyait ça possible. La retransmission du match à la télé explosé les records d’audience) lorsque nos cinquièmes Pokémon respectifs se neutralisèrent mutuellement. Il ne me restait plus que Milobellus, et il lui restait un Raichu. Je serrai les poings de rage : pourquoi la malchance me frappait si proche du but ? Mais mon Pokémon m’étonna comme jamais : je ne l’avais jamais vu si vif, si prompt, si rapide, si puissant : on aurait dit que ce titre, il le voulait encore plus que moi. Et au terme d’un dernier Laser Glace, qui résonna dans un silence mortuaire au beau milieu de ce stade plein à craquer, Raichu fut mis hors de combat… Et je devins maître de la ligue d’Eloredia dans une explosion d’acclamations et de hurlement de joie.

Ce combat devint légendaire dans l’Histoire de la région. Pendant des semaines, il passa en boucle à la télévision, tandis que j’enchaînais les interviews et autres invitations. J’avais hâte que les choses sérieuses commencent, et elles commencèrent bien plus tôt que je ne l’aurais voulu. Ou en tout cas, pas de ma meilleure des manières.

Vous vous souvenez des sectes dont je vous parlais plus tôt ? Et bien, pendant mes années d’entraînement, je n’avais pas eu le temps de m’intéresser aux nouvelles. Et quand bien même je l’aurais fait, la Ligue et le gouvernement d’Eloredia cachaient la majorité des informations. Mais en tant que Maître, j’avais désormais accès à toutes ces informations, et c’était à moi de gérer ces problèmes. Ce qu’on ne savait pas, donc, c’était que plusieurs villes du Nord de la région étaient tombées sous le joug d’une secte qui avait pris le dessus sur les autres et les avaient englobés. Cette secte se nommait « Volonté », et prônait le fait que les Pokémon étaient nos esclaves, et ni nos pareils, ni nos compagnons, ni même nos animaux. Ils étaient là pour servir, nous nourrir et c’était tout.

La première mesure que je pris fut d’interdire l’accès au Nord d’Eloredia. La deuxième fut d’ouvrir une école de « Poképolicier » et de lever une armée pour se battre contre cette secte qui faisait bien plus de mal que de bien. Peu à peu, et au fil des mois, les villes tombées sous le joug de cette secte revinrent à la « normale ». Je devenais une héroïne, le « plus grand maître du monde »… Mais tout changea à l’aube de mes 23 ans.

J’avais tout évalué. Je savais que cette attaque sur la ville de Fexus devait être difficile mais bien finir. C’était là que se trouvait le siège de la secte : si Fexus tombait, Volonté tombait avec elle. J’avais tout évalué sauf le réseau immensissime que possédait la secte : imaginez-vous juste qu’elle avait plus d’hommes au poivron de la ligue et du gouvernement que j’en avais moi. Pendant des années, ils avaient laissé ma confiance s’installer. Ils ont laissé faire croire que j’avais le dessus, que ce n’était qu’une simple formalité. Puis, juste avant l’attaque, je fus prise à partie par une vingtaine de personnes, dans les habits traditionnels de la secte. Alertés, mes propres hommes vinrent à ma rescousse, et se fut un véritable bain de sang. Je réussis à m’échapper de justesse, et me retrouvai en moins de temps qu’il faut pour le dire à Eternia, pour retrouver le Professeur Akiyama, à qui je m’empressai de tout raconter. Entre temps, les informations à la télé nous informèrent que Volonté avait renversé le gouvernement, et qu’ils tueraient toutes personnes hostiles à leur régime. En outre, et cela me glaça le sang, j’étais désormais considérée comme l’ennemi public numéro 1, et quiconque fournirait des informations sur ma présence se verrait distingué et accéderait à des privilèges dignes des plus grands rois. J’étais recherchée morte ou vive.

Avec le professeur, nous décidâmes de me faire quitter la région, aussi loin que possible. Alcéa semblait être la meilleure des solutions : éloignée d’Eloredia, il y avait qu’une chance infime qu’ils sachant ce qu’il se passe dans cette région. Je pouvais donc recommencer une nouvelle vie et, pourquoi pas, convaincre les autorités locales de soulever une armée, de soulever leurs partenaires commerciaux et alliés militaires, pour libérer Eloredia du joug de Volonté. Je dus malheureusement quitter mes Pokémons : je partais en bateau, tout le monde connaissait mon équipe et en ces temps troubles, les bateaux illégaux qui quittaient la région tenaient à vérifier le moindre détail de leurs passagers pour éviter d’avoir des problèmes avec Volonté.

Plusieurs semaines plus tard, je débarquai dans une ville appelée Hopa. Et, sans attendre aucune consigne de mes passeurs, je partis dans la nature, la boule au ventre, à la recherche d’une nouvelle grandeur qui me permettrait de sauver ma région…
Informations du Pokemon

(sprite ou image 100x100)
• Pokemon : Tarsal
• Surnom : /
• Sexe : Femelle
• Particularité : A une tendance élevée pour aider les gens et les Pokémons dans le besoin.
    Histoire :
Voilà quelques jours que j’avais débarquée à Alcéa. J’avais vite quitté le village d’Hopa, espérant me fondre dans la masse de gens qui devaient se trouver dans la capitale régionale. J’étais cependant partie sans même vraiment savoir où j’allais et sans prendre de provisions ou d’argent. Si bien que, m’abreuvant dans les ruisseaux que je trouvai et me nourrissant de quelques baies ne semblant pas réellement toxiques, je finis au bout d’à peine une semaine à être à bout de force. Je ne cessais de marcher cependant, vers le Nord, sans même savoir si c’était la bonne direction. J’étais sale, pleine de transpiration. J’avais faim, j’avais froid. J’avais mal partout, je sentais le monde tourner autour de moi. Où étais-je ? Qu’est-ce que je faisais ici ?  Qui étais-je ? Je me laissai tomber à genoux. Je n’étais plus rien ni personne… La dernière vision que je vis fut une espèce de crête rouge sur un casque vert…

C’est donc à ça que ressemble le paradis ? Il fait noir, mais vous vous sentez bien. Vous êtes sur un nuage confortable, au chaud. Vous êtes propres, reposé. Vous sentez bons. C’est sympa, en fait !
Je finis tout de même par remarquer que mes yeux étaient fermés. J’ouvris donc l’un, puis l’autre. Je n’étais décidément pas au paradis mais dans une chambre, luxurieuse, immense, avec des tapisseries brodées et des tapis qu’on oserait à peine effleurée. Je me relevai pour m’assoir. Comment avais-je pu passer de cette forêt lugubre à cette pièce huppée ? Une dame finit par entrer. Elle portait des vêtements noirs et un tablier blanc : tenue traditionnelle des femmes de maison, elle me demanda si je voulais boire ou manger quelque chose en particulier. J’aurais sans doute dû lui demander où j’étais, mais je lui demandai juste du pain, des fruits et à boire. Elle me les rapporta quelques minutes à peine après, et s’en alla, sans me donner plus d’explications.

L’odeur du pain chaud embauma la chambre, et je ne pus résister une seconde de plus. Je croquai dans ces merveilleux fruits, dans ce merveilleux pain sur lequel j’avais étalé beurre et confiture. Il me sembla que c’était la meilleure chose que j’eue mangé de toute ma vie.

Puis, un homme entra dans la chambre. Il était grand, élancé, à peine la quarantaine et portait une blouse de scientifique. A ses côtés se trouvait un Tarsal, et je compris rapidement que l’espèce de crête que j’avais vu avant de m’évanouir lui appartenait. Il – ou elle – ne semblait pas effrayé, mais semblait me fixer derrière son casque vert… Comme Aku le faisait lors de notre première rencontre. L’homme m’expliqua être un scientifique de la ville de Domuraille, et que ce Tarsal était un des Pokémon que sa femme élevait, mais qu’il n’aimait pas réellement rester enfermé, si bien qu’il se sauvait souvent. Il m’avait trouvé, mourante et évanouie, et qu’il s’était empressé de venir chercher de l’aide.

Puis, vint la question que je redoutais. « Qui es-tu ? ». Je donnai juste mon prénom, « Ayako », sans donner de détails sur mon nom de famille ou sur d’où je venais. J’annonçai simplement que je venais d’une région éloignée, en guerre, que je fuyais après la mort de mes parents. Cette révélation me fit d’ailleurs froid dans le dos : que leur étaient-ils arrivés après ma fuite d’Eloredia ?

Ces explications ne convainquirent évidemment pas le scientifique, mais il comprit qu’il n’en tirerait pas plus. Il m’annonça que je pouvais rester ici le temps que je voulais, qu’on veillerait à ma sécurité, à mon bien-être et à mes besoins… Mais qu’en échange, je devrais m’occuper de ce Tarsal, qui n’avait pas quitté mon chevet durant mes quatre jours de sommeil. Il s’était apparemment pris d’amour pour moi, « comme si les Pokémons et toi étiez reliés, d’une façon ou d’une autre ».  Si seulement il savait…

Informations du Joueur
• Prénom/Surnom : Secret =P
•  Âge : 21
• Comment es-tu arrivé ici ? En fouinant à droite ou à gauche
• Parrain : /
• Avatar : Code Geass - CC
• Une question ? Nop.
Master
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Lun 14 Juil - 12:02
Fondateur

Messages : 10710

Bienvenue !

Alors, bien que l'histoire soit intéressante, je suis désolée, mais elle ne va pas du tout par rapport au contexte et au fonctionnement du forum.

Tout d'abord les régions existante dans l'univers du forum, sont celles des jeux et celles que nous créons (comme Alcea ou encore l'autre région en cours d'élaboration). C'est pourquoi la région que tu appelles Eloredia, n'existe pas ici.

Puis, je n'ai rien contre le fait que ton perso ai déjà été dresseur auparavant. Mais les champions ainsi que l'élite sont des PNJ que nous le staff jouons pour la trame principale du forum. Tu ne peux donc pas avoir été un champion, ni même un membre de l’élite et encore moins Maître. A la limite il est possible de prendre ce genre de personnage important lorsque nous en feront des prédéfinis, mais ce n'est pas le cas pour le moment.

J'avais commencé à voir comment faire pour que tu n'ai pas à tout refaire, mais étant donné que pratiquement toute ton histoire est basée sur la région que tu as créé ainsi que ton ascension en tant que champion puis Maître, ce n'est malheureusement pas possible, j'en suis désolée.

Ah et aussi :
"Lorsque je m’énerve, ou suis contrariée, un signe étrange apparaît sur mon front. Sans doute des veines qui ressortent, au demeurant…"
On est bien d'accord sur le fait que ce soit des veines et pas autre chose... ?

De plus, l'avatar ici doit obligatoirement faire 200x400 pixels, il va falloir également changer cela.

Voila voila, bon courage et bonne continuation.
Master
Master
Sam 2 Aoû - 12:21
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Messages : 10710

UP ! Ta fiche en est où ?
Master
Master
Sam 16 Aoû - 22:34
Fondateur

Messages : 10710

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